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ô p'tit dej

2 septembre 2011

La preuve par quatre

vue que tous les prof/instit insistent pour nous dirent qu'ils sont au trente cinq heures un petit calcul tout simple juste comme ça pour voir...

Accrodons leur cette vielle légende qu'ils sont payées sur 10 mois....allez on est bon joueurs.

il y à 16 semaine de congées scolaire chaque année ( si si j'ai compté)

enlevon les 9 semaines d'été

il reste 7 semaine de congé scolaires

un temps plein à 35 heures c'est 35*54=1890

Soit sur 10 mois: 1575 heures

 

Ils doivent donc effectués 1575 heures sur 10 mois

Ils ont 25 jours de vacances (2,5 jours par mois) soit 4,2 semaine de congée payée soit 145 heures de cp

 

il reste donc:

1430 h à faire en période scolaire ( sur 36 semaines)

soit 39 heures par semaines

 

alors ici trois cas, l'instit le prof lycée/collége

 

L'instit

6 heure quotidienne de cours sur 4 jours 24 heure hebdo, diférence: 15 heures par semaine scolaire pour travailler chez soit ........

 

Le prof de collége

 

18 heure hebdo : différence 21 heure par semaine scolaire

 

Le prof de lycée

 

15 heure hebdo différence :24 heure de travail par semaine scolaire

 

alors je n'ai rien contre ce systéme j'aimerai juste qu'il existe enfin la reconnaissance du fait que d'un point de vue des heures de travail ce metier est confortable

 

et par ce que je suis sympas un petit lien vers une petite music :

 

 

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12 mai 2011

Les couches, lavable jetables???quid de tout cela

 

Coucou à tous avec la naissance d'Antonin s'est posée la question des couches, lavables jetables, langes pas de couches du tout ?

Voici un petit melting pot de ce que j'ai pu trouver de mes ballades virtuelles.

L'hygiène naturelle: pas de couche du tout , les parents surveillent bébé et quand ils voient qu'ils poussent il le mettent au dessus des toilette ou du pot, trop extrémiste pour nous cette méthode à vite été abandonnée.

Les langes, grand carré en tissu utilisé sur nos parents bébé, fuite pas étanches galères donc...

 

Les couches lavables VS les couches jetables reste donc nos deux grand challengers. La difficulté c'est de trouver quelque choses d'objectif sur le net, tout les sites de promotion des couches lavable s'accordent à dire que c'est écologique économique meilleur pour la santé simple etc.... pourquoi chercher plus loin me direz vous? Petit retour d'expérience

 

Nous avons acheter deux couches lavables pour tester, premièrement l'épaisseur de tissus est assez impressionnante, deuxièmement, même si cela ne fuit pas sur les bodys de bébé la couche est vraiment trempée, alors la les pro CL ( couche lavable) vous sortent que bébé sera propre plus vite...bon pas sur que l'argument soit convainquant.

De plus visiblement il fait chaud, même si des tests soit disant scientifiques prouvent qu'un CL est à peine plus chaude qu'une CJ ce petit écart fait une belle différence sur le sourire de bébé quand on change de couche

 

autre argument l'écologie, alors oui le volume d'eau et l'énergie dépensé à nettoyer les CL ont un cout Carbonne moindre que celui des CJ( couche jetables).

 

L'économie

Alors deux cas de figure le bébé vas être à la maison de 0 à 3 ans maman (ou papa) vas s'en occuper tout le temps laver les couches changer les couches etc.. La oui effectivement c'est économique, par contre si le bébé vas en crèche ou chez la nounou la plus part du temps les CL ne sont pas accepter, donc on se retrouve avec un bébé qui porte pour presque moitié du temps des CJ et non pas des CL du coup le besoin de couches est deux fois moindre et le calcul ne tient plus.

 

Bref un article qui ne fait pas avancer le schmilblique mais bon

 

à  plus les loulous

 

 

 

 

 

4 février 2011

Les comercants sont sympas

Aujourd'hui desert frigorifique pas eu le temps de faire les courses..

Ni d'une ni deux je descend dans la rue acheter un petit truc pour manger. La boucherie de quartier ? pourquoi pas je peu bien faire une petite infidélitée à mon boucher habituelle

-Et pour le monsieur qu'est ce que ce sera
-Une tranche de bavette à 19€95 le kilo

-bien monsieur pour une personne ?
-oui

et voila le boucher qui sort ces instrument découpe avec précision un morceaux de limousine à 19€90 le kilo ( cher pour de la bidoche de cette qualité mais bon le prix étais aficher)

et voila t'y pas mon boucher qui pèse le morceaux 180grammes.

parfais me dis je moins de 4 euros

le boucher va à la caisse repasse le morceaux sur la balance qui affiche 200 grammes, tient je me dis que j'ai du mal voir la première fois..

et la le type me dit 4€95 je paye, sort regarde le ticket qui affichait 3€95
rentre me fait rembourser l'euro de trop ( déjà que ça sentais le louche mais la ça se confirme)

je rentre pèse le morceaux de viande : 180 g

bilan 10% de bénéfice juste en changeant de balance et 25 % de plus en donnant un mauvais prix

mais bon les commerçants sont sympa....

15 septembre 2010

un poéme

écris il y à 140 ans et tellement d'actualité

Victor Hugo – L’Année terrible 

« À ceux qu’on foule aux pieds » 

XIII

Oh ! je suis avec vous ! j’ai cette sombre joie.
Ceux qu’on accable, ceux qu’on frappe et qu’on foudroie
M’attirent ; je me sens leur frère ; je défends
Terrassés ceux que j’ai combattus triomphants ;
Je veux, car ce qui fait la nuit sur tous m’éclaire,
Oublier leur injure, oublier leur colère,
Et de quels noms de haine ils m’appelaient entre eux.
Je n’ai plus d’ennemis quand ils sont malheureux.
Mais surtout c’est le peuple, attendant son salaire,
Le peuple, qui parfois devient impopulaire,
C’est lui, famille triste, hommes, femmes, enfants,
Droit, avenir, travaux, douleurs, que je défends ;
Je défends l’égaré, le faible, et cette foule
Qui, n’ayant jamais eu de point d’appui, s’écroule
Et tombe folle au fond des noirs événements ;
Etant les ignorants, ils sont les incléments ;
Hélas ! combien de temps faudra-t-il vous redire
À vous tous, que c’était à vous de les conduire,
Qu’il fallait leur donner leur part de la cité,
Que votre aveuglement produit leur cécité ;
D’une tutelle avare on recueille les suites,
Et le mal qu’ils vous font, c’est vous qui le leur fîtes.
Vous ne les avez pas guidés, pris par la main,
Et renseignés sur l’ombre et sur le vrai chemin ;
Vous les avez laissés en proie au labyrinthe.
Ils sont votre épouvante et vous êtes leur crainte ;
C’est qu’ils n’ont pas senti votre fraternité.
Ils errent ; l’instinct bon se nourrit de clarté ;
Ils n’ont rien dont leur âme obscure se repaisse ;
Ils cherchent des lueurs dans la nuit, plus épaisse
Et plus morne là-haut que les branches des bois ;
Pas un phare. A tâtons, en détresse, aux abois,
Comment peut-il penser celui qui ne peut vivre ?
En tournant dans un cercle horrible, on devient ivre ;
La misère, âpre roue, étourdit Ixion.
Et c’est pourquoi j’ai pris la résolution
De demander pour tous le pain et la lumière.

Ce n’est pas le canon du noir vendémiaire,
Ni les boulets de juin, ni les bombes de mai,
Qui font la haine éteinte et l’ulcère fermé.
Moi, pour aider le peuple à résoudre un problème,
Je me penche vers lui. Commencement : je l’aime.
Le reste vient après. Oui, je suis avec vous,
J’ai l’obstination farouche d’être doux,
Ô vaincus, et je dis : Non, pas de représailles !
Ô mon vieux cœur pensif, jamais tu ne tressailles
Mieux que sur l’homme en pleurs, et toujours tu vibras
Pour des mères ayant leurs enfants dans les bras.

Quand je pense qu’on a tué des femmes grosses,
Qu’on a vu le matin des mains sortir des fosses,
Ô pitié ! quand je pense à ceux qui vont partir !
Ne disons pas : Je fus proscrit, je fus martyr.
Ne parlons pas de nous devant ces deuils terribles ;
De toutes les douleurs ils traversent les cribles ;
Ils sont vannés au vent qui les emporte, et vont
Dans on ne sait quelle ombre au fond du ciel profond.
Où ? qui le sait ? leurs bras vers nous en vain se dressent.
Oh ! ces pontons sur qui j’ai pleuré reparaissent,
Avec leurs entreponts où l’on expire, ayant
Sur soi l’énormité du navire fuyant !
On ne peut se lever debout ; le plancher tremble ;
On mange avec les doigts au baquet tous ensemble,
On boit l’un après l’autre au bidon, on a chaud,
On a froid, l’ouragan tourmente le cachot,
L’eau gronde, et l’on ne voit, parmi ces bruits funèbres,
Qu’un canon allongeant son cou dans les ténèbres.
Je retombe en ce deuil qui jadis m’étouffait.
Personne n’est méchant, et que de mal on fait !

Combien d’êtres humains frissonnent à cette heure,
Sur la mer qui sanglote et sous le ciel qui pleure,
Devant l’escarpement hideux de l’inconnu !
Etre jeté là, triste, inquiet, tremblant, nu,
Chiffre quelconque au fond d’une foule livide,
Dans la brume, l’orage et les flots, dans le vide,
Pêle-mêle et tout seul, sans espoir, sans secours,
Ayant au cœur le fil brisé de ses amours !
Dire : - « Où suis-je ? On s’en va. Tout pâlit, tout se creuse,
Tout meurt. Qu’est-ce que c’est que cette fuite affreuse ?
La terre disparaît, le monde disparaît.
Toute l’immensité devient une forêt.
Je suis de la nuée et de la cendre. On passe.
Personne ne va plus penser à moi. L’espace !
Le gouffre ! Où sont-ils ceux près de qui je dormais ! » -
Se sentir oublié dans la nuit pour jamais !
Devenir pour soi-même une espèce de songe !
Oh ! combien d’innocents, sous quelque vil mensonge
Et sous le châtiment féroce, stupéfaits !
— Quoi ! disent-ils, ce ciel où je me réchauffais,
Je ne le verrai plus ! on me prend la patrie !
Rendez-moi mon foyer, mon champ, mon industrie,
Ma femme, mes enfants ! rendez-moi la clarté !
Qu’ai-je donc fait pour être ainsi précipité
Dans la tempête infâme et dans l’écume amère,
Et pour n’avoir plus droit à la France ma mère ! -

Quoi ! lorsqu’il s’agirait de sonder, ô vainqueurs,
L’obscur puits social béant au fond des cœurs,
D’étudier le mal, de trouver le remède,
De chercher quelque part le levier d’Archimède,
Lorsqu’il faudrait forger la clef des temps nouveaux ;
Après tant de combats, après tant de travaux,
Et tant de fiers essais et tant d’efforts célèbres,
Quoi ! pour solution, faire dans les ténèbres,
Nous, guides et docteurs, nous les frères aînés,
Naufrager un chaos d’hommes infortunés !
Décréter qu’on mettra dehors, qui ? le mystère !
Que désormais l’énigme a l’ordre de se taire,
Et que le sphinx fera pénitence à genoux !
Quels vieillards sommes-nous ! quels enfants sommes-nous !
Quel rêve, hommes d’Etat ! quel songe, ô philosophes !
Quoi ! pour que les griefs, pour que les catastrophes,
Les problèmes, l’angoisse et les convulsions
S’en aillent, suffit-il que nous les expulsions ?
Rentrer chez soi, crier : - Français, je suis ministre
Et tout est bien ! - tandis qu’à l’horizon sinistre,
Sous des nuages lourds, hagards, couleur de sang,
Chargé de spectres, noir, dans les flots décroissant,
Avec l’enfer pour aube et la mort pour pilote,
On ne sait quel radeau de la Méduse flotte !
Quoi ! les destins sont clos, disparus, accomplis,
Avec ce que la vague emporte dans ses plis !
Ouvrir à deux battants la porte de l’abîme,
Y pousser au hasard l’innocence et le crime,
Tout, le mal et le bien, confusément puni,
Refermer l’océan et dire : c’est fini !
Être des hommes froids qui jamais ne s’émoussent,
Qui n’attendrissent point leur justice, et qui poussent
L’impartialité jusqu’à tout châtier !
Pour le guérir, couper le membre tout entier !
Quoi ! pour expédient prendre la mer profonde !
Au lieu d’être ceux-là par qui l’ordre se fonde,
Jeter au gouffre en tas les faits, les questions,
Les deuils que nous pleurions et que nous attestions,
La vérité, l’erreur, les hommes téméraires,
Les femmes qui suivaient leurs maris ou leurs frères,
L’enfant qui remua follement le pavé,
Et faire signe aux vents, et croire tout sauvé
Parce que sur nos maux, nos pleurs, nos inclémences,
On a fait travailler ces balayeurs immenses !

Eh bien, que voulez-vous que je vous dise, moi !
Vous avez tort. J’entends les cris, je vois l’effroi,
L’horreur, le sang, la mer, les fosses, les mitrailles,
Je blâme. Est-ce ma faute enfin ? j’ai des entrailles.
Éternel Dieu ! c’est donc au mal que nous allons ?
Ah ! pourquoi déchaîner de si durs aquilons
Sur tant d’aveuglements et sur tant d’indigences ?
Je frémis.

Sans compter que toutes ces vengeances,
C’est l’avenir qu’on rend d’avance furieux !
Travailler pour le pire en faisant pour le mieux,
Finir tout de façon qu’un jour tout recommence,
Nous appelons sagesse, hélas ! cette démence.
Flux, reflux. La souffrance et la haine sont sœurs.
Les opprimés refont plus tard des oppresseurs.

Oh ! dussé-je, coupable aussi moi d’innocence,
Reprendre l’habitude austère de l’absence,
Dût se refermer l’âpre et morne isolement,
Dussent les cieux, que l’aube a blanchis un moment,
Redevenir sur moi dans l’ombre inexorables,
Que du moins un ami vous reste, ô misérables !
Que du moins il vous reste une voix ! que du moins
Vous nous ayez, la nuit et moi, pour vos témoins ?
Le droit meurt, l’espoir tombe, et la prudence est folle.
Il ne sera pas dit que pas une parole
N’a, devant cette éclipse affreuse, protesté.
Je suis le compagnon de la calamité.
Je veux être, - je prends cette part, la meilleure, -
Celui qui n’a jamais fait le mal, et qui pleure ;
L’homme des accablés et des abandonnés.
Volontairement j’entre en votre enfer, damnés.
Vos chefs vous égaraient, je l’ai dit à l’histoire ;
Certes, je n’aurais pas été de la victoire,
Mais je suis de la chute ; et je viens, grave et seul,
Non vers votre drapeau, mais vers votre linceul.
Je m’ouvre votre tombe.

Et maintenant, huées,
Toi calomnie et toi haine, prostituées,
Ô sarcasmes payés, mensonges gratuits,
Qu’à Voltaire ont lancés Nonotte et Maupertuis,
Poings montrés qui jadis chassiez Rousseau de Bienne,
Cris plus noirs que les vents de l’ombre libyenne,
Plus vils que le fouet sombre aux lanières de cuir,
Qui forciez le cercueil de Molière à s’enfuir,
Ironie idiote, anathèmes farouches,
Ô reste de salive encor blanchâtre aux bouches
Qui crachèrent au front du pâle Jésus-Christ,
Pierre éternellement jetée à tout proscrit,
Acharnez-vous ! Soyez les bien venus, outrages.
C’est pour vous obtenir, injures, fureurs, rages,
Que nous, les combattants du peuple, nous souffrons,
La gloire la plus haute étant faite d’affronts.

 

28 avril 2010

pour ma sécurité

l'année dernierre j'ai déclaré mes impots en ligne, bon bien pourquoi pas me direz vous. cette année j'ai reçu ceci dans ma boite mail


Madame, Monsieur,

L´année dernière, nous avons reçu près de 10 millions de déclarations en ligne, dont la vôtre.

La déclaration par internet est simple, sécurisée et vous disposez d´un délai supplémentaire.

Je vous engage donc, à partir du 26 avril, à vous rendre sur le site impots.gouv.fr pour déclarer vos revenus en ligne.

Je vous remercie de votre confiance.

Le Directeur Général des Finances Publiques



Si vous avez une question particulière, nous vous invitons à ne pas répondre à l´adresse électronique de ce message mais à vous connecter sur notre site impots.gouv.fr où vous trouverez les réponses aux questions les plus fréquentes.


Pour votre sécurité, l´administration fiscale ne vous adresse jamais de messages contenant un logo ou un lien renvoyant sur un site Internet. Si vous recevez un tel message, merci de ne pas utiliser le lien.


Ce que je trouve très fort c'est l'avertissement signalant que JAMAIS au grand JAMAIS pour notre SECURITE il n'y auras jamais de lien vers un site internet dans un message de l'administration fiscale, et la PAF deux liens dans le même mail , est ce que je doit dénoncer les impôts comme potentiellement dangereux à la police ???de plus je dois même pas pour ma sécurité cliquer sur les liens attention ça pourrais me péter à la gueule, prendre le contrôle de ma machine, et me déclarer non solvable??

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11 mars 2010

video

je n'aurais pas la prétention de faire un quelconque jeux de mot pour présenter cet artiste tout les France interiste le connaisse je le trouve juste monstrueux:

deux vidéos:



 

8 mars 2010

Hommage à Stéphane Delicq et Pierre Deloche

Deux hommes et artistes que j'estime beaucoup sont décédés il y peu.
Pierre Deloche fin 2009 et Stéphane Delicq en février 2010.

Je les ai découvert alors que j'habitais à Lyon, en 2002.

Par la musique de Stéphane Delicq et l'éomtion de son accordéon, j'ai découvert le folk et ses danses où l'attention à l'autre est des plus agréables.
Par Pierre Deloche jai découvert une autre manière d'être, avec des personnes mal voyantes au travers de la danse contact et du tango.

Deux musiques rejointes par l'accordéon diatonique
Des danses différentes est complémentaires dans le rapport aux autres.

Expériences aussi enrichissantes et diverses que défiler à la biennale de la danse avec la Compagnie Pierre Deloche et que danser au point du jour sur un parquet de danse bondé de danseurs langoureux et fatigués au rythme de Stéphane Delicq lors du Bal de L'Europe à Gennetines.

Je leur souhaite longue vie dans nos mémoires

Pauline

http://www.deloche-danse.com/spip.php?article24

25 février 2010

Merci de bien vouloir tirer sur l'ambulance

coup de geule....

J'ai été pompier.....

pendant plusieurs année j'ai eu la chance de conduire une ambulance à tombeau ouvert dans les rues de mâcon.

Griller un feux rouge volontairement avec le stress de l'intervention est quelque chose d'assez grisant.

Dans la cellule ( la partie médicale de l'ambulance), la victime  en arrêt cardiaque, le medecin du samu demande d'accelerer le mouvement que la personne à besoin de soin....

Bascule du pied droit aceleration hurlement de sirene clignotement de girophare.

STOP

Ici s'arrête le recit de ces aventures que je pourrais vous raconter sans soucis autour d'un verre, ce que je veut dire c'est qu'il y a un but à la prise de risque des pompiers, du Samu ou du véhicule d'urgence gaz, ce que je veut dire c'est que les vies de gens dans CES véhicules sont en danger, que la vitesse contribue à l'augmentation de leur espérance de vie.

La ou je veut en venir.

seul les pompiers, le samu, la police, ou l'urgence gaz sont de vrai véhicule d'urgence, à Chalon sur Saone, régulièrement on croise un véhicule blanc munie de gyrophare bleu qui grille les feux rouges, vous doubles dangereusement etc... ce véhicule ce n'est pas la samu, non, c'est une ambulance privée, ne les laissez pas passer. oui je sais je suis un méchant mais j'explique, ces ambulances privées transportent des gens bien vivant pas forcément en bonne santée mais certaienement pas mourant, ils transportent des gens...transportables, ces transports vont pour la plus part des cas d'un domicile à l'hôpital ou d'un hôpital à un autre doté d'un scanner pour un examen. Ces ambulances ne font jamais d'urgence, d'une part car généralement les personnels à l'intérieur n'y sont pas formés, d'autre part car l'urgence est le travail du samu et des pompiers. la plus part du temps quand leurs giro hurle et que leur sirène clignote, elle sont ....vide, rentrer plus vite au dépôt pour remplir un autre contrat voila le créneaux de ces gens, et franchement cette conduite m'énerve, seul exception, la présence du samu en plus de ces ambulances, en effet en cas de malaise les ambulances doivent appeler le samu qui se déplace afin d'apporter les soins nécessaire à la personne.

Amicalement

A





7 février 2010

dedicace pour tous les enfants qui veulent danser en rond sur une chansons rigolote

p'tite comptine.

26 août 2009

delotable or not delotable

coup de gueule:

je manipule de l'argent public, et au vue de mes divers opinion je suis contre le gaspillage.

hier pour le boulot il me faillais un yaourt pour faire un 4/4 avec les enfants. Direction le leader price du coin pour acheter  le susdit produit laitier, j'en trouve un pack de 4 attachés ensemble, mais sans emballage cartonneux, j'en retire un en prenant soin de ne pas abimer les trois autres.

passage en caisse:

la caissière :

Ah mais vous voyez bien qu'ils sont vendu par quatre, glapit elle au sortir d'un soupir agacé ( et oui c'est un alexandrin, c'est de pierre desproges voir plus bas)

moi:

Oui peut être sauf que la loi sur la vente par lot m'autorise à n'en prendre qu'un seul, à la condition de ne point abimer sauvagement les 3 autres du lot.

La caissière prenant à parti sont collègue et Voyant le débat animé arriver ce n'est pas la première fois que je fais cela, c'est d'ailleurs toujours les mêmes arguments qui reviennent le code bar ne se trouve que sur un seul produit c'est vendu par lot etc...Je me dit que cela peut durer un moment, et décide de tourner court en allant chercher les quatre autres ( je ne pouvais me permettre  un retard en effet ma capilopractrice ayant pu me caler un rendez vous entre deux client, je ne voulais pas manquer de respect à cette charmante adepte de la décoloration à l'eau oxygénée pour jeunes néobranchouillard de quartier populeux , faut que j'arrette Desproges moi ça me monte à la tête)

bref j'ai donc finit par céder au dieux consommation honte à moi mais, j'ai décider de pousser un petit coup de gueule ici, car un consommateur averti, achete plus c'est à ça que sert la pub et le marketing.

pour information

ce que nous dit la loi:

  • La vente par lot constitue une des techniques promotionnelles de vente utilisées dans la grande distribution. Ce mode de commercialisation des produits doit, pour être admis au regard de la législation française, répondre à plusieurs conditions
  • En premier lieu, la vente par lot n'est licite que si le consommateur a la possibilité d'acheter dans le même établissement les produits du lot de façon séparée. Si le lot est composé de produits différents, le prix de chaque élément du lot doit être porté à la connaissance du consommateur.
  • Si la vente par lot est annoncée comme effectuée à un prix réduit, celle-ci doit respecter les règles en matière de réduction de prix, c'est-à-dire notamment indiquer le prix réduit et le prix de référence, soit le prix composé de la somme des prix à l'unité.
  • Enfin, comme toute offre promotionnelle, celle-ci ne doit pas être trompeuse pour le consommateur, voire mensongère. En particulier, les offres signalées par lot à des prix « choc » ou « éco », qui laissent penser qu'il y a un intérêt économique à acquérir ces produits en quantité importante, pourraient être appréhendées sous l'angle des pratiques commerciales trompeuses, s'il s'avérait qu'en réalité aucun rabais n'était accordé par rapport à un achat à l'unité de ces mêmes produits.
  • Il existe dans le code de la consommation des moyens juridiques suffisants et adaptés pour relever et poursuivre ce type de pratiques promotionnelles fallacieuses, qu'il s'agisse des règles relatives spécifiquement aux ventes jumelées ou subordonnées (art. L. 122-1), ou de celles relatives aux réductions de prix. En outre, la loi n° 2008-3 du 3 janvier 2008, relative à la concurrence au service des consommateurs, a élargi ces possibilités avec la création du délit de pratiques commerciales trompeuses (art. L. 121-1 et suivants du code de la consommation).

pour en rire:


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